• La suite de notre parcours nous fait longer la mer Adriatique durant plusieurs centaines de kilomètres. Peu de visites culturelles pendant ces journées et beaucoup de plages, c'est les vacances après tout cool!

    La première station balnéaire où l'on va s'attarder est Monopoly, on n'y a pas acheté d’hôtel ni de gare mais on y a passé deux très belles journées. On stationne sur un grand parking de plage, c'est gratuit et on est à moins de 2 kms du centre et à 50 m d'une petite plage de galets.

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    Le centre historique accolé au port est vraiment beau, on s'y balade à de nombreuses reprises.

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    On se baigne beaucoup ici, soit sur la plage proche de notre parking, soit dans des zones plus rocheuses qui abritent une multitudes de poissons multicolores

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    soit sur la belle plage centrale, vite remplie en cette saison estivale (dur dur de trouver un petit bout de sable pour poser sa servietteglasses). L'eau est très chaude, cela ne nous rafraîchit même plus no!

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    Le lundi matin, 28 juillet, on remonte tranquillement vers le nord, on s'arrête à Molfetta en pensant nous baigner mais une forte averse et l'état de saleté de la plage et du parking ( quantités de détritus jonchent le sol, ça donne pas envie!beurk) font que l'on fait juste une visite de la ville.

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    La plage du centre est vraiment minuscule et entièrement bétonnée, c'est très bizarre. Nous sommes le weekend, les italiens font des pique-niques ambiance discothèque sur la plage avec sono XXL, barnum, tables de camping pour un banquet etc. Du coup, nous ne nous sentons pas à notre place et préférons ne pas nous mêler à eux...

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    A midi, il se met à pleuvoir  alors on profite de l'averse pour déjeuner mais comme la pluie et le vent très fort ne se calment pas, on décide de lever le camp et de se diriger plus dans les terres à  Troia où on a vu une aire avec les services pour le camping car (eh oui, cela fait quelques jours que nous vivons en autonomie, alors il faut bien vider et remplir les réservoirs winktongue)

    Nous arrivons à Troia en fin d'après-midi et nous nous posons sur l'aire réservée aux camping cars: il y a tous les services, eau potable, vidanges et même l'électricité, tout ça gratuitement. Le parking se trouve dans le bas du village alors il faut grimper pour accéder au centre ville.

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    Le centre est surprenant, plein de petites ruelles étroites, la cathédrale romane est bien conservée. Nous sommes dimanche et la météo n'est pas clémente alors la ville est pratiquement vide, c'est bizarre (juste des jeunes qui jouent au niveau du parc du château).

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    Le lendemain, nous partons vers Termoli où nous avons repéré sur P4N un parking gratuit à coté du cimetière.  La route nous menant de Troia jusque dans les Abruzzes est pour le moins pittoresque puisque elle est parsemée de dizaines de prostituées qui ne se cachent pas du tout, bien au contraire, certaines font même du twerk sur le bord de route pour appâter la clientèle!

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    Gros changement sur la plage car cette fois la mer nous offre des vagues, c'est très agréable, les enfants peuvent enfin sortir leurs planches.

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    La vue que l'on a de la plage est très belle.

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    Mais hélas comme souvent en Italie, il n y a quasiment que des plages privées

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    Tiens on se croirait sur la côte Atlantique avec ces carrelets que je voyais partout étant jeune autour de Royan

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    On retourne visiter la vieille ville en soirée.

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    Toujours pas lassés par la mer, le lendemain, nous faisons halte à Giulianova; on se gare sur un parking goudronné à côté d'un camping où étonnamment de nombreux camping-cars semblent installés depuis assez longtemps. Nous, on reste discret comme on en a l'habitude.

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    La mer est toujours chaude, on la mesure à 31-32 degrés!

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    Hélas, un fort hurlement d'Yléa dans la mer a calmé notre enthousiasme, une méduse l'a piquée, celle-ci était très urticante puisque sa jambe était très rouge. Pas cool, malgré les cris de douleurs d'yléa, aucun italien n'est venu nous voir , pas même le surveillant de plage ( pour une fois qu'il y en avait un , d'habitude ils ne sont que dans les plages privées). Forcément, après cela, on ne s'est plus trop baigné.

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    Echange de maillot de bain en pleine mer... avant la piqûre bien entendu clown

     

    En soirée, on a fait une brève promenade dans la station qui est bien aménagée: rue piétonnes, lunapark, jeux, parcs, ports etc, mais bizarrement très peu de gens dans les rues.

     

    Le dernier jour de juillet coïncide avec notre dernier jour de mer, on pourrait presque rédiger un guide des stations balnéaires de la mer adriatique. On s'arrête à Fano, il y a deux aires de camping-cars côte à côte, les deux sont face à la mer et d'après l'application coûtaient 5 euros en juillet 2019, pourtant on en paie 8, c'est ça aussi l’Italie... ça ne nous semble pas si cher puisque on est très bien placés, seul bémol, il n y a ni eau ni de quoi vider.

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    Suite à la mésaventure de la veille, on est pas trop enclins à se baigner , c'est dommage car la mer est chaude et transparente. On apprécie ici d'avoir une douche  sur la plage, c'est la première fois des vacances qu'on en voit une en accès libre, les autres fois, les douches étaient sur les plages privées.

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    Notre prochaine destination est San marin, on a envie de voir si là-bas on se sent dans un autre pays ou si c'est identique à l’Italie.

    Lassés de longer la mer et surtout agacés par l'urbanisation excessive de cette côte (on avance à un rythme si lent) on décide de prendre pour une fois l'autoroute; on ne le regrette pas car c'est beaucoup moins cher que chez nous ( en tout cas en camping-car) et cela nous permet de trouver sur une aire tout ce qu'il faut pour les services du véhicule: eau potable gratuite et vidanges.

     

     

     

     

     

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  • La route nous menant de Pompéi vers les pouilles est très agréable, on traverse d'ouest en est l’Italie, c'est une zone de moyennes montagnes parsemées de nombreux villages perchés. On choisit de se poser à lido di metaponto complètement par hasard, on souhaite surtout retrouver la mer et pourvoir nous rafraîchir . On y trouve une superbe aire aménagée (Lido di Nettuno) comme un terrain de camping, on n'en sait rien mais on suppose qu'il s'agit d'un ancien camping.

     

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    On y trouve une aire de jeux

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    un snack et une plage privée

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    On en profite pour faire les pleins d'eau et tout vider

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    même si ici il y avait des sanitaires (douches froides)

    la plage est également agréable, seule la station nous déçoit car elle est toute petite et sans animation ni commerces.

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    Tout était très bien ici jusqu'au moment de tenter de dormir... le camping juste à coté a mis de la musique à fond jusqu’à plus d'1h du matin, c'était assourdissant.

    Le lendemain, on quitte le "camping" a 17h et on se dirige vers Lecce où on trouve un stationnement sur le parking du forum ( gratuit de 21h à 9h, sinon 0.60/h).

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    On visite en soirée la ville qui est très belle et très animée. Elle est appelée la Florence du Sud à cause de ses bâtiments baroques. 

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    Les vestiges romains sont là aussi encore très bien conservés

     

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    la piazza del Duomo et son ensemble architectural baroque : cette place est impressionnante car presque entièrement fermée par des monuments, on croirait un décor en carton plâtre yes l'obscurité rend cette place encore plus magique et photogénique!

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    Malheureusement, la basilique Santa Croce, inscrite au patrimoine mondial est en rénovation et sa façade est entièrement bâchée, on ne verra donc rien du surprenant bestiaire qui orne la façade, symbole de l'art baroque ouch.

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    Ici la photo la plus impressionnante de toutes ces vacances, les pires ennemis semblent devenus complices! Hélas ça ne durera pas!

     

    Nos guides signalent que Gallipoli est une belle station balnéaire alors on s y dirige, on stationne sur le parking d'un cimetière et une nouvelle fois c'est très bruyant, une fête foraine est installée tout près.

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    Ici la plage est super belle mais un peu loin du parking (accès à la presqu'île interdite aux camping-car et on comprend pourquoi), environ 2km mais le chemin est agréable.

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    et la station extrêmement fréquentée, ceci est lié à  la fête Santa Cristina qui semblait être une procession religieuse avec un fort accent commercial tout de même. 

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    Nous sommes le 24 juillet, avant de nous diriger vers Alberobello, on choisit de retourner à la mer, on se gare devant un village vacances à Villanova.

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    Pas de belles plages ici mais des coins vraiment chouette pour plonger et nager avec les poissons.

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    Les enfants s'adonnent même à la pêche, sans obtenir de résultats hélas.

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    Sur notre trajet, se trouvait la ville de Brindisi, on choisit d y faire une pause repas puisque tout près du centre , il y a une aire de services; on est tout étonné d y voir des panneaux indiquant la direction de l’Albanie! 

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    Le lendemain, on découvre la magnifique vallée d'Itria avec ses nombreux villages perchés.  

    Ici Ostuni que l'on ne visitera pas faute de stationnement agréable no

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    Avant d'arriver à alberobello, capitale des trullis, on visite la belle cité de Cisternino (on stationne gratuitement sur le parking du gymnase / théâtre).

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    Puis on se gare à Locorotondo ( parking du stade, vide ce jour-là, à 100m du parking officiel payant) où on a pu voir une jolie chapelle dont les fresques sont encore en très bon état.

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    Le village de Locorotondo est comme une galerie d'art à ciel ouvert, il y a des installations artistiques disséminées dans tout le "centro storico"

     

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    A Alberobello, il y a peu de stationnements ou alors assez cher, alors on décide de se poser à environ 2 kms de la zone monumentale; on est plutôt bien installés, un peu sous les arbres, avec une fontaine d'eau tout près et bien au calme, il y a même des tables de pique nique.

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    La zone des trullis est assez impressionnante, ces maisons avec leur toit si particulier interpellent. Il s'agit de constructions datant du 16ème siècle, ces habitations sont construites à sec, c'est à dire sans mortier, ainsi elles sont démontables rapidement, ce qui leur permettait de ne pas payer d’impôts. 

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    On retournera en soirée voir ces habitations si étonnantes afin d'avoir une vision différente, les touristes sont toujours aussi nombreux et on a pu admirer un petit son et lumière 

     

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  • Epuisés par deux journées marathons dans Rome, on quitte la ville en matinée pour rejoindre Pompéi et le Vésuve. Mais en chemin, forcément, on ne résiste pas à l'envie d'aller à la mer, les adultes ne se sont pas encore baignés. On s'installe un peu au hasard à Terrassina, on se pose en retrait sur un parking d'un supermarché. On y est rassuré, un loueur de vélo super sympa vient nous dire en français que l'on peut, si on le souhaite, rester très longtemps là (ce n'est pas dans nos habitudes de rester plusieurs jours posés sans bouger mais cela nous rassure).

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    Finalement en soirée, plusieurs autres camping cars arriveront sur la zone. C'est top car on est à moins de 400 m de la plage. L'eau est super chaude, ça fait un bien fou! 

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    On se sent bien ici, du coup on reste deux jours, ça permet de se reposer et de profiter de la mer. En plus, la station est plutôt agréable.

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    Le 20 juillet , nous arrivons à Pompéi, on se gare sur le parking d'Auchan pour aller visiter les célèbres  ruines. Le parking  dispose de places réservées aux camping-cars et est surveillé, c'est parfait pour l'après-midi, hélas on ne peut y rester la nuit. On a eu de grosses difficultés pour arriver jusque Pompéi, comme on en a l'habitude, on a cherché à éviter l'autoroute, grosse erreur, on se retrouve dans la banlieue sud de Naples faites de petites ruelles emplies de scooters et voitures roulant comme des fous! On a cru plusieurs fois accrocher le camping-car.

    On attend assez peu pour obtenir les billets, dommage on oublie de demander le supplément pour avoir  un audioguide, on le regrettera par la suite ( 8 euros).

    La cité de Pompéi fut détruite lors de l'éruption du Vésuve en 79 ap JC. La ville est très bien conservée car les cendres déposées lors de la violente  éruption l'ont protégée des intempéries et des différents pillages ou conflits.

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    L’ancêtre du passage-piéton pour traverser la route sans se mouiller les pieds cool

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    Une boulangerie avec son four à pain en brique ^^

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    Ici un temple 

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    Là l'équivalent d'un bar-restaurant : à la place des trous, des jarres contenaient des vins et  des mets. 

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    Les fresques et mosaïques sont encore en superbe état!

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    Jolie vue sur le Vésuve dévastateur shocked

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    On a évidemment visité le célèbre lupanar, ancêtre des maisons closes où les prostituées officiaient dans de toutes petites chambres décorées de fresques évocatrices oops

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    Ces amphores ont permis d'en savoir beaucoup sur le quotidien des habitants de Pompéi 

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    De nombreux moulages de corps sont visibles sur le site, c'est assez impressionnant. Lors de l'éruption du Vésuve, des nuages de  cendres et de roches sont "tombés" sur la cité de Pompéi; les habitants ont été instantanément asphyxiés et leurs corps recouverts d'une épaisse couche de roches volcaniques , les chairs se sont désagrégées avec le temps, ce qui a fabriqué des moules. Il s'agit donc là de moulages effectués en creux, c'est à dire que les archéologues ont coulé du plâtre directement à l'intérieur de ces enveloppes de cendres. Ces moulages montrent les habitants dans  leur position  au moment du sinistre.

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    Même s'il s'agit d'un des pires moments de l'histoire de l'humanité, cette visite reste un très beau moment plein d'émotion.

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    Après cette visite, on ne sait trop où passer la nuit, on suit un stationnement de park4night et nous posons très discrètement dans un parking de centre commercial "la cartiera" ; jusque 23 h , plusieurs vigiles passent devant nous sans rien dire, on n'est donc pas inquiet pour la nuit. Hélas, à 2h30, ces mêmes vigiles viennent frapper très fort à la porte du camping-car (c'est la première fois que cela nous arrive) pour nous demander de partir immédiatement (enfin c'est ce que nous avons deviné vu leur agressivité mais ils n'ont parlé qu'en italien, ils ne comprenaient pas un mot d'anglais ).

    Alors à 3h du matin, nous voilà sur la route, ne sachant pas où aller , on décide de ne rien changer et de se diriger vers le Vésuve. Ce fut sacrément angoissant, outre l'heure tardive, la pente très forte sur la montée du volcan , la conduite des italiens (même en pleine nuit et à cet endroit ils sont là en train de conduire à toute vitesse!) et surtout la fatigue et l'énervement nous ont fait frémir.

    Seul point positif, en arrivant à 3h30 au Vésuve, nous sommes les premiers à nous garer sur le parking officiel "Planta 800" (en fait le parking officiel payant est simplement le bord de route, c'est abusé) et en plus, on n 'a pas besoin de payer les 6 euros du parking.

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    Aucune gène de n'avoir pas payé un tel parking!

     

    On est très en pente mais c'est la seule solution que nous avions à cette heure là, très peu de stationnements là-bas même en pleine journée, on a même entendu dire qu'un carrefour faisait payer le stationnement sur son parking entre 20 et 40 euros !

    Au niveau du parking, il y a une navette pour nous amener au pied du volcan, celle-ci est également payante ( 2 euros A/R par personne), on a préféré ne pas l'attendre, ne pas payer et monter tranquillement et finalement assez rapidement jusqu’à la billetterie (1.5 km de montée).

    On paie 40 euros l'entrée au site du volcan (10e par personne même les enfants): pour ce prix , on a droit à un guide qui parlait anglais, visite plutôt intéressante et vivante (le guide était une véritable caricature des italiens mais rigolo quand même), il nous a accompagné jusqu'au cratère et la fin de la visite s'est déroulée seuls.

    On a pu faire de belles vues de la baie de Naples

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    On a pu apercevoir le début de la cote amalfitaine.

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    Ces vues sont nous ont impressionnés, en revanche le volcan nous a quelque peu déçu, le seul signe de vie est cette petite fumerolle qui s'échappe de la roche.

    Le cratère est lui aussi assez peu impressionnant. ça m'a rappelé le cirque de gavarnie ou du fer à cheval.

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    Après moult hésitations, et très déçu par le pays,  nous décidons de ne pas aller jusqu'en Sicile.  Ce pays est sale, les routes sont en mauvais état et ses habitants sont souvent peu agréables. Pire, sur la route, on frôlé à plusieurs reprises de gros accrochages liés à la conduite des italiens.

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    Déchets jonchant la route aux abords du site archéologique de Pompéî, on est loin de l'image de carte postale bad

    On ne repart pas directement  vers le nord, mais nous décidons de faire un détour par les pouilles avant de remonter vers la France, nous longerons l'Adriatique un long moment.

     

     

     

     

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  • L'aire que l'on a finalement choisi est située sur la via appia, une ancienne voie romaine où on retrouve encore pas mal de vestiges antiques. On paie 24 euros pour 24 h électricité comprise, c'est cher mais pour Rome ça va encore, et ici plus qu'ailleurs mieux vaut privilégier la sécurité. On est à environ 3 kms du Colisée et 7 du Vatican, on ne l'utilisera pas mais il y a un bus qui s’arrête juste devant notre aire.

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    On est installé tôt sur l'aire (ouverture à 8h), on part immédiatement vers le Colisée, on y arrive rapidement (environ une demie heure), le trajet nous y menant passe par une rue peu fréquentée car interdite à certains véhicules ZTL.

    On achète nos tickets à la caisse du Palatin/Forum car on a lu dans les guides et les forums que la queue est moins longue; effectivement, en à peine un quart d'heure, nous voilà en possession de précieux sésame avec une visite du Colisée prévue dans l'heure qui suit. Nous nous dirigeons donc vers le Colisée... où la queue pour les billets est très très très longue; même avec nos tickets du forum, nous devons quand même patienter 1h! bad

     

    Pour ma part, je m'attendais à quelque chose de plus grandiose mais c'est tout de même impressionnant à voir. il y a une foule immense, le lieu est bien conservé et des champs de fouilles sont encore visibles au niveau de la scène.

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    On paie 12€ chacun pour la visite du Colisée, du Forum et du Palatin, c'est gratuit pour les enfants. L'intérieur est vraiment bien conservé! On imagine presque les combats de gladiateurs yes.

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    Après 2 h de visites , on profite du Forum et du Palatin qui sont admirables, les bâtiments sont pour certains très bien conservés et encore impressionnants.

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    En fin de journée, malgré le mal de dos et les nombreux kms faits à pied, on découvre que la ville possède de nombreuses jolies places :

    la piazza Navona: Sur cette place, il y a plusieurs fontaines sculpturales dont nous retiendrons, au centre de la place, une très belle fontaine du Bernin, la Fontana dei quattro fiumi avec ses magnifiques sculptures de rocailles et son obélisque et la fontana del Nettuno au nord avec sa représentation du dieu des eaux Neptune.

     

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    la piazza Venezia: tous les chemins mènent à Rome et à la piazza Venezia qui se trouve au cœur de la cité.

     

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    le musée militaire de la marine où l'on a pu voir une impressionnante collection de drapeaux italiens, des avions et même un sous marin! 

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    le piazza del popolo : la très commerciale via del Corso, toute droite mais longue de plusieurs kilomètres, relie la piazza Venezia à la piazza del Popolo. Au centre de cette immense place, il y un obélisque égyptien datant de Ramsès II. 

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    le Vittoriano: monument en hommage à Victor-Emmanuel II, datant du XIXè mais construit  dans un style classique.

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     le Panthéon

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    la place du capitole : le capitole est l'une des 7 collines sur lesquelles a été fondée Rome. Sur la place, on peut admirer la statue équestre de Marc Aurèle.

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    La louve du Capitole 

     

    La journée a été longue mais on ne peut pas imaginer ne pas voir la fontaine de Trevi , hélas et c'est logique, il y a une foule immense!

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    Le lendemain les gosses et moi avons besoin de récupérer et nous laissons Sabrina aller seule voir la chapelle sixtine, les 17 euros d'entrée, la longue attente et aussi le peu de motivation que nous avons font que nous préférons traîner au camping-car.

    Edit de Sabrina: Arrivée à 8h45, les musées du Vatican n'ouvrent qu'à 9h mais la foule est déjà présente devant les portes. Les contrôles de sécurité sont assez rapides et après 45 minutes, me voilà à l'intérieur. Je choisi le circuit rapide car mon objectif est de visiter les chambres de Raphaël et surtout la chapelle sixtine!

    L'émotion était très forte lorsque j'ai pénétré dans la chapelle, un rêve depuis 25 ans ( études en arts), j'ai presque versé ma petite larme cry

    Les photos à l'intérieur de la chapelle sont interdites mais comme la plupart des visiteurs, j'ai triché et réussi à prendre en cachette un cliché pour garder un souvenir de mon passage.

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    On rejoint tranquillement sab en fin de matinée, on découvre le plus petit pays du monde et la très belle place saint pierre. On en profite également pour visiter la basilique. 

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    Nous nous promenons l'après-midi dans les jardins du Pincio et la villa Borghèse, vaste parc en plein cœur de Rome où la fraîcheur et l'ombre des pins sont agréables car il fait encore très très chaud glasses

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    Nous nous reposons un peu sur la piazza di spagna et son célèbre escalier. de la trinité des monts qui mène à une très jolie église.

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    Au pied de l'escalier, sur la place, il y a une jolie fontaine en forme de bateau.

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    En soirée, nous retournons au Colisée et au Forum pour une vision différente des monuments.

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    Pendant notre visite de Rome, nous avons pu rencontrer des drôles d'habitants clown

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    Il s'agissait là de la 17 ème capitale d’Europe que nous visitons !

     

     

     

     

     

     

     

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  • Après de belles aventures jusqu’au cap nord il y a 2 ans puis au cœur de la Turquie, l'an dernier, cette année, nous avons décidé de limiter les kilomètres et de nous contenter de parcourir l'Italie. On traverse la France relativement rapidement, un arrêt comme souvent à la piscine de Chalons sur Saône où on aime emmener les enfants ; hélas la piscine extérieure et celle à vagues sont assez froides et les toboggans fermés frown.

    Notre première nuit agréable est dans les montagnes, à St Rémy de Maurienne, on est garé sur le parking d'une base nautique, juste devant un camping (stationnement autorisé 48h).

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    L'endroit est chouette, on peut s'y baigner , il y a une petite plage avec des toilettes et une douche extérieure; on en profite pour faire une petite balade autour des étangs.

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    Le lendemain midi, on s'arrête au sommet du col du Mont Cenis. Avant de quitter la France, on a pris soin de faire le plein, en principe, en Italie, le carburant est toujours plus cher que chez nous (finalement cette année ce n'est plus le cas).

    Pour manger on se gare au bord du lac, c'est très beau mais il n y a rien à y faire car les sentiers de randonnée sont tous fermés. On s'installe donc en haut du col afin de faire une randonnée pas trop difficile mais très longue (randonnée vers le lac clair), on apprécie car on y voit des dizaines  de marmottes.

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    La randonnée nous mène au lac clair (alt  2755m, environ 750m de dénivelé positif smile) , on est déçu car il s'agit plus d'une flaque d'eau que d'un lac, en tout cas on s'attendait à autre chose (sûrement une conséquence de la période de canicule de juin cry).

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    A la nuit tombée, il reste très peu de gens, on choisit de se placer en retrait de la route, il fait froid en soirée, normal on est à 2000m. Tout semblait parfait avant que le vent ne se lève et devienne très fort;  on a préféré donc descendre dans la vallée, à Suse. La descente fut très éprouvante pour le camping-car (on passe de 2000 m à 500 m en peu de kilomètres), les freins ont chauffé, c'est la première fois que cela nous arrive pourtant on est habitué à grimper à de telles hauteurs!

    On se gare sur un grand parking en centre ville de Susa, il n y a pas d'interdiction et de toute façon l'aire officielle est inaccessible en raison d'une fête foraine, cette dernière rend d'ailleurs la nuit assez bruyante. A ce moment là on n'imaginait pas qu'en fait c'est tout le pays qui est très bruyant la nuit!

    Le matin on rejoint assez rapidement Turin, pour l'instant, on voit peu de différences par rapport à la France, ça ne durera pas hélas, les fous du volant, trous sur la route et autres déchets sur les bas-cotés allaient bientôt nous rejoindre.

    Comme très souvent, c'est grâce à park4night que nous trouverons notre stationnement à Turin , il s'agit d'une aire improvisée assez déconcertante où règne une ambiance un peu hippies. On s'y sent à l'aise , on regrette juste le manque d'ombre mais on ne va pas se plaindre , on est dans une grande ville et c'est gratuit.

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    On a été un peu déçu par Turin, soit parce qu'on a vu beaucoup de villes en Europe et que l'on devient de plus en plus exigeant, soit parce que l'on n'est pas allé aux bons endroits ou tout simplement que la ville n'est pas exceptionnelle. On se promène en centre ville : piazza del castello, duomo (où l'on peut voir une réplique du saint suaire)...

     

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    Finalement ce que l'on retiendra le plus de Turin, c'est les alentours de notre aire où on s'est promené autour du stade des jeux olympiques de Turin de 2006 ( dans le parc attenant, il y a un étang qui abrite des centaines de petites tortues. ça grouille de partout oh ! ) et où en soirée, on a pu assister à une sorte de fête de la bière, on se  serait cru en Bavière.

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    Après avoir fait les services en sortant du parking, nous nous dirigeons tranquillement vers Rome, on fait une étape intéressante à Reggio di Emilia : à moins de 2 kms du centre-ville, un parking avec 6 places pour camping car offre une aire de services gratuite, il y a même des navettes gratuites vers le centre-ville afin de ne pas faire les 2 kms à pied!

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    Le centre ancien est pas mal, on en profite pour se rafraîchir dans des fontaines.

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    Le lendemain, on fait beaucoup de routes (Timéo en a profité pour vomir de nombreuses fois sur les belles mais sinueuses routes de Toscane, le pauvre!), on n'a pas trouvé de stationnement correct à Bologne et on a vu Florence il y a  4 ans, alors on fait une halte à Sienne. Ce fut pour moi l'une des plus belles découvertes de ce pays, la ville m'a enchanté. Nous visitons la magnifique Piazza del campo avec sa très grande fontaine "fonte Gaïa". puis nous nous dirigeons vers la piazza del Duomo qui nous rappelle fortement Florence. Les bâtiments en marbre blanc et noir sont très bien conservés et étincellent sous le ciel bleu sarcastic

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    piazza del campo

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    piazza del duomo

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    la louve de Romulus et Remus

     

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    Nous sommes garés au bas de la ville dans un parking sans ombre qui ,semble-t-il, est partagé avec les services municipaux (nous sommes le week-end donc il y a de la placesmile) ;  il est relativement près du centre ancien et on peut y accéder assez vite grâce à un ascenseur (bien caché dans le parking couvert du bâtiment administratif mais accessible 24/24 7/7).

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    Ce parking certes bien pratique n'est pas assez agréable pour que nous y restions dormir, on avance donc en direction de Grossetto, on s y arrête en soirée. On est au bord d'un parc sportif, c'est relativement plaisant.

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    il y a sur ce parking un distributeur d'eau assez étonnant, on ne voit cela qu'en Italie.

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    Par rapport à de nombreuses villes que l'on a pu voir en Italie, Grossetto n'est pas forcément à la hauteur mais on a tout de même pris plaisir à s y balader sarcastic

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    notamment les gosses qui profitent bien de la gastronomie italienne cool

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    Pas de chance, il pleut ce soir-là sur Grossetto, pas si grave avec toute cette chaleur, ça nous rafraîchit un peu mais la conséquence, c'est que nous abandonnons l'idée d'aller aux thermes de Saturnia le lendemain; sous la pluie, cela ne sera pas aussi beau alors on évite de faire le détour et nous nous dirigeons directement vers Rome. 

    On s'arrête en chemin à Cerveteri pour profiter de la mer. Mais l'accès à la plage est complètement fermé à cause d'un festival de musique "Summer circus village". Nous nous posons donc le temps de déjeuner et pour les enfants, de faire leur premier bain en Italie (nous trouvons un petit passage pour accéder à une plage pas très agréable, beaucoup de déchets, le sable est noir et il a une odeur très désagréable beurk). Mais l'orage nous rattrape et nous sommes obligés de quitter la plage à cause des nombreux éclairs qui déchirent le ciel arf

    On passe la nuit sur le parking d'une grande zone commerciale en banlieue de Rome (parco commerciale Da Vinci) pour se laisser le temps de choisir le meilleur endroit pour se poser dans Rome. La nuit on a encore droit à un immense orage et à des pluies diluviennes.B

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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