Ce voyage , on l'a préparé depuis bien longtemps. En effet, initialement prévu en 2020, le covid nous a obligé à le reporter de 2 ans. Heureusement, nous n'avions payé que les billets d'avion de Barcelone-San Francisco et  par chance, la compagnie Level a été très commerçante et nous a remboursé très rapidement sans que nous ayons à insister. Les hôtels, eux, étaient réservés avec annulation gratuite sur Booking.

Cette fois-ci, afin de limiter le coût, nous décollerons du Luxembourg pour atterrir à Las Vegas et ce sera avec la compagnie KLM.

Notre road trip en est légèrement modifié. En 2 ans , on a eu le temps d'acheter de nombreux guides afin de peaufiner au maximum le parcours :

 

Oui ça fait beaucoup de guides papier, d'autant qu'on n'a pu emmener que très peu car ceux-ci s'avèrent trop  lourds mais je les trouve souvent d'occasion sur momox ou vinted et c'est tellement agréable de les utiliser pour préparer un voyage.

En plus des guides papier, on a utilisé également quelques sites populaires concernant l'ouest américain: lost in the usa, roadtrippin ou encore des groupes Facebook tels que BPVOA  ou à la découverte de l'ouest américain.

De crainte d'une nouvelle annulation liée au covid, on a choisi de réserver au dernier moment quasiment tous nos hébergements ou activités. Le camping que l'on a réservé le plus tôt est logiquement le plus demandé, the View à Monument Valley, quasiment un an avant ... Hélas quelques mois plus tard, on nous a annulé cette réservation (le camping reste fermé à cause des contraintes covid). Concernant Universal Studios et les hôtels, si on avait pu anticiper les évènements géopolitiques en Ukraine, on  aurait prépayé plus tôt afin d'éviter la hausse du dollar, on aurait ainsi gagné plusieurs centaines d'euros.

C'était sans compter sur les aléas météorologiques qui allaient quelque peu perturber le parcours initial:  incendies au sud de Yosemite, coulée de boue à Death Valley notamment.

Voici le parcours que  nous avions prévu:

 

 

Nous avions prévu 8 nuits en hôtel ( LV - LA - SF + Death Valley) et 13 nuits en camping dont certaines ont été improvisées le jour-même.

Nous voilà à Cudillero, magnifique bourgade pittoresque et très touristique. Nous sommes dans les Asturies, sur la côte nord de l'Espagne. Finis les oliviers, le soleil, la mer chaude, la chaleur, désormais on vit dans la verdure, l'atmosphère est humide, les températures quasiment fraiches et le soleil de l'Andalousie nous manque déjà...

Fort heureusement, Cudillero ou d'autres villes ou stations balnéaires magnifiques compenseront ce manque.

Ici, on a pu trouver un stationnement en bord de mer pour passer la journée et la nuit.

 

Après avoir passé quelques heures à Avilès , nous nous posons à Gijón, une grande ville et une station balnéaire, nous n'en gardons pas un bon souvenir car il ne faisait pas très beau, il y a une aire mais elle est pleine alors on se gare sur le parking d'un stade mais c'est hélas très bruyant.

 

Le palais de revillagigedo est bien conservé

 

Plutôt insolite, ce monument (appelé arbol de la sidra) réalisé en bouteille en verre, il s'agit de montrer que la région est spécialisée dans la production de cidre.

 

Quelques dizaines de kilomètres plus à l'est, le village de Lastres plairait beaucoup à ceux qui recherchent le calme et l'authenticité avec en prime de très beaux paysages.

Il y a ici une belle aire gratuite 

L'excès de tranquillité ne plaisant pas à nos ados, on a poursuivi notre route en longeant l'océan. A  Ribadesella , une grande station balnéaire fort agréable , on a pu se poser 24 heures et faire quelques balades le long de la mer.

 

La station est entourée de magnifiques paysages.

Le long de la mer on a pu admirer ces superbes villas du début 20 ème de l'aristocratie asturienne.

On a pu obtenir l'une des 5 places de l'aire officielle, tant mieux car en  face, c'était un peu l'anarchie, des camping cars garés dans tous les sens et faisant un peu n'importe quoi.

120 kms plus à l'est, on est très agréablement surpris par le charme de Santander qui malgré la météo toujours maussade, ne manque pas de charme.

Une nouvelle fois, dans cette ville, on a droit à une belle aire gratuite avec tous les services gratuits également, on peut dire que l'Espagne accueille bien les camping-caristes. Elle est en plus située dans une zone calme entourée de verdure.

 

Plusieurs quartiers ont attiré notre attention à Santander.

En bord de mer, le centre Botin qui est un vaste espace culturel surprend par son architecture pleine d'audace.

Le front de mer n'est pas le plus beau que l'on ait vu cet été mais s'y balader fut très agréable.

La zone qui nous a beaucoup plu est la péninsule de Margarita, on y trouve un ancien palais, un immense parc, un petit zoo en accès libre, un mini musée et quelques plages.

Les plages sont également belles

Sur notre retour vers l'est et la France, on fait une halte en journée à Bilbao, on trouve difficilement un parking gratuit mais assez glauque à la périphérie de la ville.

Le quartier autour du musée Guggenheim attire notre attention en raison de ses  sculptures étonnantes.

 

 

Voici Puppy le chiot géant en fleur apparu en 1997 en même temps que le musée Guggenheim.

 

 

Contrairement à ce que l'on imaginait, le reste de la ville est aussi très joli. Les bords du fleuve rappellent un peu Bayonne selon mes lointains souvenirs de la ville basque.

le théatre arriaga 

On peut dire que la principale gare de Bilbao est magnifique, gare de Bilbao Concordia bâtie en 1902.

 

Le quartier historique regorge d'endroits charmants

 

Sur le trajet pour rejoindre le camping-car , on a pu voir le stade de Bilbao, San Mamès, surnommé la cathédrale, c'est l'un des plus beaux stade d'Espagne

 

Notre retour en France sera compliqué  comme chaque été ou presque,  impossibilité de se garer en bord de mer voire dans toute la commune comme à Capbreton, honte à cette station qui interdit de se garer si on fait plus de 2 m de haut !!!

On en vient à se demander si le camping-car est encore un bon moyen pour découvrir le monde...

 

 

La route de Marbella à Ronda offre de magnifiques vues sur la méditerranée , dommage qu'on la parcoure dans le sens de la montée, ça aurait pu être encore plus joli.

On galère pas mal dans Ronda qui est une ville aux rues très étroites pavées , aucun parking ne nous satisfait, finalement on se pose au bord d'une route très peu fréquentée en périphérie du centre historique.

On a tellement chaud ( c'est logique en juillet en Andalousie) qu'on se précipite dans la piscine municipale de Ronda, elle est toute simple, bon marché et autorisée aux touristes de passage (rare en Espagne en ces temps de Covid)...On s'y rafraichit l'après midi.

L'intérêt de Ronda est d'être perchée au bord d'une falaise impressionnante , la ville et son fameux pont sont aussi très photogéniques.

 

 

Selon nous, cette ville moins connue que Séville, Grenade ou Cordoue mérite vraiment un détour.

Après un bref arrêt à Antequera où on n y a rien vu de marquant si ce n'est un château et une belle vue sur la ville,

on arrive à Grenade. Il parait qu'il y a beaucoup de vandalisme dans cette ville, alors on évite le "sauvage" et on choisit le parking près de la gare, il est sécurisé et il y a même de l'ombre.

C'est assez cher , 13 euros les 24 h mais on est dans une grande ville et on voulait voir l'Alhambra.

C'est dans le quartier de l'Albaicin, au mirador san nicolas  que l'on contemple le mieux l'Alhambra.

 

 

Ce quartier est un véritable labyrinthe de ruelles charmantes; comme beaucoup, on s'y est perdu...

Dans le palais de l'Alhambra, nous n'avons visité que les parties gratuites, il fallait réserver plusieurs semaines à l'avance et on a décidé qu'au dernier moment d'aller en Espagne.

 

 

Aussi surprenant que cela puisse paraitre, j'ai adoré les paysages monotones du nord de l'Andalousie où on ne voit qu'une multitude d'oliveraies, peut-être parce que ça symbolise  pas mal la chaleur, le soleil et surtout le milieu méditerranéen que j'adore.

 

Petite pause à Consuegra pour faire quelques clichés des beaux moulins liés au roman Don Quichotte de Cervantes, ce sont les mieux conservés du pays.

 

Avant de rejoindre la capitale espagnole, on fait une halte à Tolède, quelle bonne idée ce fut! la ville est magnifique!

 

 

 

 

On arrive tôt à Madrid, on a bien fait, on a pu trouver un parking super agréable et gratuit, en plus  on s'y sent en sécurité, la police passe toutes les 15 minutes devant nous. On est dans le parc Casa del Campo au bord d'un grand plan d'eau, il s'agit d'un immense parc mais on est à l'extrémité pas trop loin du palais royal.

 

Très grand supporter du Barça, j'ai quelques à-priori négatif en visitant la ville de Madrid, j'ai des difficultés à être objectif et tout me parait un peu "fade"

On a vu néanmoins le palais royal

L'impressionnant palais de Cybèle est aujourd'hui le siège du conseil municipal de Madrid

 

La plaza de la Puerta del sol est le lieu où les supporters de "l'ennemi" madrilène se réunissent lors de leurs grandes victoires.

 

La plaza Mayor est en plein cœur de la ville, c'est une des plus importantes et anciennes place d'Espagne.

 

Même dans une ville immense, on apprécie souvent de pouvoir flâner dans un parc, retrouver le calme et la verdure, à Madrid c'est dans le parc El retiro que l'on a pu trouver cette tranquillité.

Ici l'immeuble Métropolis 

 

 

de style belle époque avec sa façade monumentale est très photogénique.

Trop peu intéressés par la visite de musée classique, on laisse Sabrina aller au musée de la reine Sofia, elle en mourait d'envie. Là bas est exposé le chef d'œuvre du maestro Picasso : Guernica. Bien que les photos soient interdites à l'intérieur du musée, elle ne résiste pas à l'idée d'immortaliser sa rencontre avec le tableau monumental... Le reste du musée est aussi très intéressant avec une collection d'art moderne et contemporain à la hauteur des grandes capitales culturelles mondiales.

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Le trajet entre Madrid et la côte atlantique est assez long et on ne remarque aucun endroit intéressant sur ce parcours alors on fait une pause détente dans une aire avec piscine en pleine campagne, à Bretocino.

on parvient quand même à y voir de belles maisons troglodytes assez étonnantes.

 

Avant de rejoindre Oviedo, on traverse la cordillère cantabrique, on doit descendre un col très pentu, 10% sur quasiment 10 kms, comme on s'inquiète pour les freins, on teste le système HDC (hill descent control) présent sur notre fourgon tout neuf et la technologie est vraiment magique, sans toucher à aucune pédale, le véhicule parvient à descendre seul ces gros pourcentages, c'est vraiment rassurant!

A Oviedo, on se gare sur le parking d'une piscine, on ne reste que quelques heures, la ville est agréable mais il ne fait pas très beau Eh oui,  en traversant le pays, on a perdu quasiment 20 degrès!!!

 

 

Oviedo est une ville où l'on peut voir beaucoup de sculptures de personnages ou d'artistes reconnus mondialement

La "regenta"

 

Mafalda, personnage de BD créé par Quino

 

"La maternité" de Botero

 

Le célèbre réalisateur hollywoodien Woody Allen 

 "La Torera"

 

L'an dernier, on avait apprécié la Pologne et les pays baltes mais  la chaleur et la mer chaude nous avaient manquées, on se rattrape cette année sur la Costa Blanca où on va se baigner dans plusieurs stations balnéaires très charmantes. De Valence, nous nous rendons  à  Dénia. Située à 100 kms au sud  de Valence, cette station est plutôt tranquille pour une mi-juillet. Notre stationnement n'est pas très glamour (parking de ville poussiéreux) alors on ne s'attardera pas ici.

La plage est belle.

En plus et c'est surprenant , la station est relativement peu animée en soirée.

Ensuite, on continue la côte et on va par hasard à Calpe et il s'avèrera que cette station est très jolie. On choisit d'aller dans une aire aménagée  pour une fois, elle est assez chère ( 23 euros pour  4) mais elle les vaut largement!  Tout y est beau , propre et neuf! Il y a même une piscine!

Les paysages aux abords de la plage sont superbes.

La ville ne manque pas non plus de charme 

Curieusement, ici aussi la soirée nous a paru peu animée, d'autant plus qu'on est mi juillet.

Après pas mal d'hésitations, on choisit d'aller à Benidorm, il y a peu de parking là-bas pour nos véhicules et les campings sont luxueux et donc très chers et sans doute complets. On parvient tout de même à trouver un stationnement à seulement 1 km de la mer.

Benidorm nous intéresse par sa réputation sulfureuse, on a envie de voir ses soirées de folie, ses gratte-ciels (record mondial de gratte ciel au m2), ses plages etc...

Ici tout est un peu dans la démesure, cet hôtel avec mini-piscines en balcon pour chaque appartement du 1er étage m'a vraiment impressionné!

Certes on verra de belles plages, en revanche coté folie, c'est la déception, le covid est passé par là et les anglais n'étant pas là , la station est relativement calme. La plage est belle mais il y a énormément de rochers dans la mer , je m'y suis coupé, ça m'a gêné pour toute la suite des vacances.

 

 

 

Le lendemain sans les ados, on part faire une petite randonnée jusqu'à la croix de Benidorm, ça grimpe fort mais ça en vaut la peine...  De là-haut, la vue  est magnifique!

On quitte les lieux comme souvent après 24 h sur place, notre stationnement n'est pas super agréable…

Avant de rejoindre l'Andalousie, on fait un léger détour par Elche connu pour sa palmeraie immense (la plus grande en Europe). L'intense chaleur qui règne là-bas fait qu'on apprécie modérément la ville.

 

 

Vu la chaleur , on rejoint rapidement le littoral, on se gare à Cabo de Gata sur un parking classique où sont déjà installés de nombreux camping-cars. ceux-ci semblent là depuis un bon moment, on n'apprécie pas trop ce lieu car beaucoup vidangent à même le sol ou font la vaisselle dans les douches de plage, on déteste ces mauvais comportements 

On ne fait pas de randonnée dans le parc, c'est regrettable mais nos ados n'en ont pas envie et le temps est assez brumeux. Un peu plus loin, on trouve un beau stationnement face à la mer dans Roquetas de Mar hélas nous sommes le seul camping-car, toutes les places réservées aux camping-cars sont utilisées par des automobilistes. Ici la mer est comme d'habitude bien chaude et la station plutôt calme .

La longueur des places montre qu'il s'agit bien de places pour camping-cars mais en journée impossible de s'y garer , c'est rempli de voitures!

On hésite beaucoup avant d'aller à Benalmadena, on se souvient d'une belle station balnéaire avec un parc magnifique mais c'est le lieu où le moteur de  notre précédent camping-car avait cassé alors  cet endroit rappelle forcément de mauvais souvenirs.

Par chance, on se gare sur  la dernière place libre dans le parking camping-cars, cet endroit est proche de la plage , du centre et du parc , c'est donc parfait.

Le parc la Paloma est vraiment magnifique , de nombreuses espèces de palmiers et cactus y sont présentes, une étendue d'eau avec poissons, tortues et canards, de belles structures de jeux pour les enfants ainsi que de belles vues sur mer, on a adoré.

 

 

 

 

On se plait tellement ici qu'on y reste 2 nuits.

Le lendemain on va dans le quartier huppé de Marbella (Puerto Banus), les yachts et voitures de luxe y sont nombreux, on en prend plein les yeux 

 

le paysage y est également très beau... .

 

 

 

 

 

 

 

Cette année encore, le covid bouleverse nos plans et nos envies. Notre road-trip californien  initialement prévu à l'été 2020  ne peut une nouvelle fois se faire en 2021, le projet est donc d'utiliser notre fourgon neuf pour s'attarder dans les Balkans puis remonter par l'Albanie et la Croatie, mais voilà ce projet comporte trop de frontière à traverser et en période d'épidémie, ce serait trop coûteux en tests PCR, le vaccin n'étant pas suffisant parfois selon les pays. On se "contente " donc d'une longue incursion en Espagne .

Notre itinéraire évite volontairement la Catalogne que l'on connait bien et qui sera trop fréquenté à cette période.

Notre objectif pour cet été est les Bardenas, la côte de Valence à Marbella, Grenade, Madrid et la côte nord ouest espagnole.

Pour rejoindre le désert des Bardenas, on choisit de passer par les Pyrénées, on fait une halte de deux jours à Saint Lary Soulan afin de voir une belle étape du  tour de France. La commune ne semble pas trop aimer les camping-cars, sur quasiment chaque parking un panneau nous interdit l'accès pour la nuit, pfff.

Là, à l'occasion du passage du tour de France, c'est tout à fait différent, plus aucune règle de stationnement, heureusement pas trop d'abus.

On est impressionné par la logistique incroyable qui accompagne le tour de France.

C'est Tadej Pogacar qui remporte l'étape ce jour-là; on a monté 2kms de ce col à pied (Col du Portet) et on se dit qu'ils sont vraiment très forts pour monter avec des pourcentages aussi élevés et  à une allure aussi rapide .

Sur cette photo , on voit à peine un dixième du col qu'ils doivent escalader! On voit aussi qu'on n 'était pas seuls ce jour là!

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Leurs vélos font rêver...

 

Pour rejoindre les Bardenas, on prend le tunnel Aragnouet/Bielsa, on se fait une grosse frayeur car notre véhicule neuf a très peu de frein moteur et les freins chauffent beaucoup dans la descente des Pyrénées, ça sent fort le caoutchouc brulé! Quelle angoisse!

Plus d'inquiétudes, arrivés aux alentours de Barbastro, on sait qu'on n'aura plus de montagnes avant un long moment. on passe la nuit à El Grado sur une aire aménagée; l'endroit est gratuit et assez agréable.

 

Aux Bardenas, on stationne sur l'aire gratuite de Arguedas, c'est un lieu très agréable.

 

Bon en soirée, dans un tel lieu, forcément on n'est plus seuls.

 

 

Dans ces collines, on a pu voir de belles habitations troglodytes très bien restaurées.

Ici on se croirait à Chefchaouen!

Bien évidemment, ce qui attire les touristes ici, ce sont les splendides paysages rappelant un peu l'ouest américain que nous devions voir en 2020 et que l'on espère voir cet été 2022.

 

Pour rejoindre la côte au niveau de Valence, on fait une courte halte à Teruel, la ville des dinosaures entr'autre. L'aire de la ville est située à coté du parc Dinopolis, à 3 km du centre ville. Elle est en plein soleil et manque de charme, alors on ne s'attarde pas ici, on note néanmoins ce très bel escalier reliant la ville haute et la ville basse et ces tours de l'art mudejare.

A Valence, on arrive tôt le matin, heureusement car on a choisi le parking du port et il se remplit très vite. Il n'est pas cher ( 5 € pour 24h) et il semble sécurisé (videosurveillance).

Le centre-ville est loin de la plage, un peu plus de 5 kms  mais pour parcourir cette distance on emprunte un très beau chemin aménagé dans le lit d'une rivière détournée, c'est bucolique, charmant, simplement beau...

Cet itinéraire nous permet de voir  un quartier pour le moins futuriste avec la belle et surprenante cité des arts et des sciences et l'Océanographique.

 

Cette zone architecturale ultra moderne n'est pas déplaisante d'autant plus qu'en centre ville , on a au contraire des quartiers traditionnels historiques bourrés de charme et d'authenticité. On s'est vraiment senti bien dans cette ville peu importe le quartier.

 

On est tout proche de la plage et c'est notre première baignade en méditerranée depuis 2 ans, on apprécie énormément, en plus la mer est très chaude , en revanche le paysage y est quelconque.

 

Notre parking est proche des bars branchés de Valence, mais avec le couvre feu imposé à partir de minuit dans cette région, on n'a pas trop eu de mal à dormir... Et on a pu profiter en soirée de l'ambiance caliente